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Inscrire le non-consentement dans la définition pénale du viol. C’est la proposition de loi adoptée par le Parlement ce jeudi 29 octobre après un ultime vote au Sénat.

Plusieurs pays de l’Union européenne ont inscrit la notion de consentement dans leur législation ; une définition communautaire européenne du viol devait être établi l’année dernière ; le viol se serait alors défini par l’absence de consentement de la victime. Mais la France a refusé.

Depuis, Emmanuel Macron a fait volte-face et s’est dit favorable à l’inscription de la notion de consentement dans la définition du viol ; les députées Marie-Charlotte Garin, écologiste et Véronique Riotton, du groupe Ensemble, ont alors déposé une proposition de loi, qui est désormais adoptée.

Mais alors la question se pose : pourquoi changer la définition pénale du viol ? Quels changements concrets pourrait entraîner cette loi ? Et pourquoi la loi a-t-elle fait débat y compris parmi les féministes ?

Pour éclairer ce sujet, je reçois des associations missionnées sur les droits des femmes et les luttes contre les violences sexistes et sexuelles :

Cécile Côme, co-présidente du Planning Familial du Mans, et Fabienne Huette de l’association Solidarités femmes 72.

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