Cette semaine, nous vous présentons la dernière galette d’un artiste que nous aimons bien à Blues Club : Eric Bibb avec son « Dear America ». Et, tout comme l’histoire des États-Unis est à la fois lumineuse et sombre, « Dear America » est un disque qui mêle les problèmes qui empoisonnent la nation, à l’espoir, à l’amour et à une route plus brillante. Tout n’est pas perdu, souligne Bibb, et nous non plus…
« Cet album est une lettre d’amour, parce que tous les malheurs de l’Amérique, et les malheurs du monde, ne peuvent trouver une sorte de guérison et d’équilibre qu’avec cette énergie que nous appelons amour. C’est ma conviction. Vous voyez les jeunes maintenant et c’est étonnant, avec tout le mouvement Black Lives Matter. Toutes ces choses me font comprendre qu’il y a une sorte de réverbération de l’énergie des années 60. On ne peut pas garder une bonne chose pour soi. Maintenant, nous en sommes à “regarder et prier”, et c’est un moment incroyablement inspirant pour écrire des chansons… » Eric Bibb