Fin avril dernier, une délégation de 27 parlementaires et élus français devaient se rendre en Israël et en Palestine sur invitation du consulat français à Jérusalem ; cependant, les visas de ces élus ont été brusquement annulés à deux jours du départ.
La délégation n’a donc pas pu se rendre sur place.
Que révèle cette décision du rapport entre la France et Israël, et comment la France doit-elle prendre acte de cette décision ?
Gilles Leproust, maire communiste d’Allonnes, faisait partie de la délégation. Il revient avec nous sur cet évènement et en tire ses conclusions.